Z.Maghzaoui : BCE et Ghannouchi gouvernent le pays
Le député du bloc socio-démocrate Zouhair Maghzaoui a déclaré dans Midi Show de ce mercredi 13 janvier 2016 que le pays est actuellement gouverné par les "deux vieux" à savoir, le président de la république, Béji Caid Essebsi et le président du mouvement Ennahdha, Rached Ghannouchi.
Il a affirmé que la crise que connait Nidaa Tounes aura répercussions sur le travail des institutions de l’Etat, le gouvernement et la présidence de la république et que ce qui s’est pas passé au congrès de Sousse était prévisible vu le conflit d’intérêts qui déchire le parti en soulignant que Béji Caid Essebsi est intervenu pour arrêter l’hémorragie mais il a échoué.
La situation se dégrade
Sur un autre plan, le député de Zouhair Maghzaoui a indiqué que depuis l’entrée en exercice du gouvernement, la situation politique et économique ne cesse de se dégrader comme en attestent tous les indices.
Il a ajouté que son bloc a exprimé clairement son refus de la nomination d’un dirigeant d’un parti de la coalition au pouvoir à la tête d’un ministère régalien (Youssef Chahed) en soulignant qu’il ne comprend pas les critères sur la base desquels le chef du gouvernement a procédé au récent remaniement ministériel.
Il a affirmé que la crise que connait Nidaa Tounes aura répercussions sur le travail des institutions de l’Etat, le gouvernement et la présidence de la république et que ce qui s’est pas passé au congrès de Sousse était prévisible vu le conflit d’intérêts qui déchire le parti en soulignant que Béji Caid Essebsi est intervenu pour arrêter l’hémorragie mais il a échoué.
La situation se dégrade
Sur un autre plan, le député de Zouhair Maghzaoui a indiqué que depuis l’entrée en exercice du gouvernement, la situation politique et économique ne cesse de se dégrader comme en attestent tous les indices.
Il a ajouté que son bloc a exprimé clairement son refus de la nomination d’un dirigeant d’un parti de la coalition au pouvoir à la tête d’un ministère régalien (Youssef Chahed) en soulignant qu’il ne comprend pas les critères sur la base desquels le chef du gouvernement a procédé au récent remaniement ministériel.